Minversheim

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Minversheim
Minversheim
Blason de Minversheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Saverne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de la Zorn
Maire
Mandat
Bernard Lienhard
2020-2026
Code postal 67270
Code commune 67293
Démographie
Gentilé Minversheimois, Minversheimoises [1]
Population
municipale
684 hab. (2021 en augmentation de 1,18 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 09″ nord, 7° 37′ 23″ est
Altitude Min. 157 m
Max. 258 m
Superficie 5,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bouxwiller
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Minversheim
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Minversheim

Minversheim (prononcé [minvərsajm] ; alsacien : mémferschè) est une commune française de la plaine d'Alsace située à 24,4 km au nord-ouest de Strasbourg dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

En 2013, la population légale est de 682 habitants. Village de milieu rural, Minversheim est intégrée dans la communauté de communes du pays de la Zorn qui regroupe 27 localités autour de Hochfelden.

Le village est devenu français en 1648 en vertu du traité de Westphalie. Comme le reste de l'Alsace, le village devient allemand entre 1871 et 1918 puis entre 1940 et 1944.

Géographie[modifier | modifier le code]

Voies de communications[modifier | modifier le code]

Minversheim est reliée à Huttendorf par la D 241, et est située sur la D 69 qui relie Kirrwiller à Mommenheim. La D 100 qui relie Hochfelden à Minversheim est prolongée à l'est par la D 139 qui mène à Bischwiller. L'autoroute A4 Paris - Strasbourg longe la commune, un accès est disponible par le péage autoroutier de Schwindratzheim par la D 100.

La voie de chemin de fer Sarreguemines - Strasbourg traverse le territoire communal ; la gare de Mommenheim est l'arrêt le plus proche.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Waltenheim-sur-zorn », sur la commune de Waltenheim-sur-Zorn à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Végétation[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire communal est voué à l'agriculture depuis de nombreux siècles. Les premières mentions écrites remontent au VIIIe siècle quand l'abbaye de Wissembourg se déclare propriétaire de divers biens fonciers à Minversheim. Le paysage est donc entièrement façonné par la main de l'homme et la nature sauvage n'y a que peu de place. Le plus ancien document cartographique décrivant le territoire remonte à l'année 1760 et a été dressé par l'arpenteur Gouget[9].

Sur un total de 1 040,93 arpents : 708,03 arpents sont consacrés aux terres labourables ; 115,60 arpents aux prés ; 98,99 arpents aux pâturages ; 75,51 arpents aux vignes ; 15,04 arpents aux bois ; 1,76 arpent aux jardins et 26 arpents aux vergers et aux habitations.

Etschhausen, un village disparu[modifier | modifier le code]

Ce village se situait à 1,3 kilomètre au sud de Minversheim, entre la route de Mommenheim (D 69) et le ruisseau Landgraben.

Etschhausen, qui était une circonscription dîmière à part entière, possédait une chapelle Saint-Nicolas, filiale de Minversheim en 1763 ; et en 1762, le curé touchait encore 106 florins de dîme de l'ancien ban. Cependant les dernières mentions de village remontent à 1300, 1308, 1349 et 1360 mais peut-être n'est-il déjà plus habité.

La chapelle qui apparaît en tant que ruine sur la carte de Cassini du XVIIIe siècle, n'existe plus aujourd'hui. Mais la statue en pierre de saint Hilaire, placée au-dessus du portail de l'église de Minversheim, provient de cette chapelle.

Cette localité a donné différents noms de lieux-dits :

  • Etschhauser Weg (chemin d'Etschhausen) ;
  • Etschhauser Pfad (sentier d'Etschhausen) ;
  • Etschhauser Feld (champ d'Etschhausen) : seule cette dernière dénomination subsiste sur le plan cadastral actuel.

D'autres villages ont disparu dans les environs de Schwindratzheim et de Bossendorf[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Minversheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), zones urbanisées (7,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Agriculture[modifier | modifier le code]

Statistiques de l'élevage à Minversheim entre 1866 et 1988 (en unité)[17].[modifier | modifier le code]

année Vaches Chevaux Moutons Porcs Volailles Chèvres
1866 204 37
1897 451 74 89 256 2321
1901 465 76 68 374 5
1907 475 63 10 374 2536
1960 549 50 ? 336
1980 1174 37 292 731
1988 1300

Statistiques des cultures à Minversheim entre 1913 et 1988 (en hectares)[18][modifier | modifier le code]

année Vignes Vergers Blé Orge Patates Houblon Betteraves fourragères Betteraves sucrières Tabac Maïs
1913 36 28 76 76 14,5 48 2,1
1939 28 16 106 6 93 12 57 7,5 6,5
1960 82 1 30 2 80 15 10 0,5
1972 4,62
1980 4 4 140 87 19
1988 30 21 350

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Vers 1850 furent mises au jour plusieurs tombes de l'époque romaine datant du IIIe siècle après Jésus-Christ. Il s'agit d'urnes funéraires en verre contenant les cendres des défunts, placées dans des réceptacles en grès.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les premiers documents écrits mentionnant Minversheim datent du VIIIe siècle après Jésus-Christ. Il s'agit de documents où l'abbaye de Wissembourg se voit attribuer des biens fonciers par de généreux donateurs. Le village apparaît en 711 sous l'appellation Munefridovilla, puis en 732 sous Monefridovilla, en 742 sous Munefridovillare, et enfin en 744, 782 et 790 sous Munifridesheim.

La traduction la plus courante du mot Munefridovilla est « la demeure de Mundfrid »; où Mundfrid serait le nom d'un chef germanique qui signifie « le protecteur de la paix ».

Plus tard, en 1162, le nom du village, sous Munfersheim est presque fixé dans sa forme actuelle et en 1354, il s'est transformé en Münversheim.

Il est à noter que durant une partie du XIXe siècle, le nom du village s'est orthographié Minwersheim. (August Kassel, Minwersheim oder Minversheim, Strasbourg, 1896.) De nos jours, la forme du nom en dialecte alsacien est Memfersche.

Un village impérial[modifier | modifier le code]

Un Reichdorf ou village impérial, est une communauté villageoise qui ne reconnaît comme seigneur que l'empereur du Saint-Empire romain germanique.

Minversheim durant les XIXe et XXe siècles[modifier | modifier le code]

La minorité juive[modifier | modifier le code]

Une communauté juive est présente à Minversheim dès le Moyen Âge. Ainsi vers 1360, sur 40 familles, trois sont de religion juive. Plus près de nous, le XIXe siècle marque l'apogée de la présence juive à Minversheim et le XXe celui de sa disparition.

La population juive à Minversheim[19]
1784 1807 1821 1846 1856 1861 1907 1920 1943
52279011611510133121

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Minversheim

Les armes de Minversheim se blasonnent ainsi :
« D'azur au chiffre 4 d'or posé en bande. »[20].

Le chiffre quatre provient d'un jeu de mots sur le nom alsacien de la commune « Memfershe » où fer est assimilé à vier qui signifie quatre.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Canton et intercommunalité[modifier | modifier le code]

Minversheim est une des 29 communes du canton de Hochfelden. Son conseiller général depuis l'élection cantonale partielle des 8 et est Marie-Paule Lehmann (UMP), maire de Scherlenheim.

La localité fait partie du la communauté de communes du pays de la Zorn qui regroupe en son sein 26 des 29 communes de canton de Hochfelden. Cette institution est présidée par Bernard Ingwiller (UMP), maire de Grassendorf.

Les maires de la commune[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 1989 Albert Kandel    
avant 1995 ? Charles Veit DVD  
mars 2001 mars 2008 Aloyse Grass    
mars 2008 En cours
(au 31 mai 2020)
Bernard Lienhard[21],[22]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution démographique depuis l'an 1360
1360 1376 1666 1693 - - - - - -
40 feux ou ~200 hab.40 familles ou ~200 hab.110 âmes (est.)200 (est.)------
feux: nombre de feux (foyers), dans un recensement d'ancien régime. /
(Sources : "Minversheim, fier de son passé, tourné vers l'avenir", "cassini.ehees")

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 684 habitants[Note 4], en augmentation de 1,18 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
580582654798801850809802825
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
753757728744710744720674679
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
704715703601565596581588534
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
545539541501485510606633682
2018 2021 - - - - - - -
653684-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église catholique Saint-Hilaire

L'église Saint-Hilaire a conservé la tour-chœur de la fin du Moyen Âge, qui a cependant été remaniée à l’intérieur et surhaussée au début du XXe siècle. La nef qui lui était accolée, orientée est-ouest, a été détruite et remplacée par une nouvelle nef, en 1765, avec l’entrée au nord (date gravée sur le portail d’entrée). La nef fut prolongée d’une travée vers le nord en 1875, d’après un projet de l’architecte Brion. Un nouveau mur-pignon reçut l’ancien portail de 1765 et les oculus qui le surmontent. Entre 1922 et 1925, le mur de soutènement du cimetière fut reconstruit sous la direction de l’architecte A. Molz (l’ancien corps de garde fut détruit) ; la porte d’entrée du cimetière est datée 1934. En 1924 et 1925, le clocher fut rehaussé d’un niveau, en remployant les fenêtres du clocher du dernier niveau, installées au XVIIIe siècle. En 1935, la tribune d’orgue fut surélevée pour laisser plus d’espace au niveau du sol.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Père Jean-Marc Meyer, curé de la paroisse depuis 1986, à la retraite depuis .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Minversheim et Waltenheim-sur-Zorn », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Waltenheim-sur-zorn », sur la commune de Waltenheim-sur-Zorn - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Waltenheim-sur-zorn », sur la commune de Waltenheim-sur-Zorn - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. Conservé aux Archives départementales du Bas-Rhin sous la cote C562(234)
  10. SHASE cahier I-III, 1962, textes de A. Humm et A. Wollbrett.
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. "Minversheim, fier de son passé, tourné vers l'avenir"
  18. idem
  19. =« Minversheim, fier de son passé, tourné vers l'avenir », L'Alsace ancienne et moderne, éditions de 1826 et 1865
  20. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  21. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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